samedi 4 mai 2013

LES HOMELIES I - III, CATECHETIQUES DE THEODORE DE MOPSUESTE


INTRODUCTION
Chaque contacte avec le monde des pères est une chance pour nous car, nous y rencontrons des enseignements  qui donnent de matière pour répondre aux  questions  sur la foi  et sur la révélation divine  que pose  le monde présent.   A cet effet, dans le souci d’approfondir ce monde des pères que nous avons parcouru  dans notre cours de patrologie II, il nous avait été demandé  de présenter  succinctement une partie de l’ouvre catéchétique  de Théodore d’ Antioche, évêque de Mopsueste.  Théodore de Mopsueste est un d’éminents pasteures, penseurs  et écrivains de la patristique qui marquèrent l’âge d’or de la littérature ecclésiastique en Antioche. 
Dans l’histoire de l’Eglise, le quatrième et le cinquième siècle  sont des siècles  décisifs  qui ont marqué l’ère nouvelle pour la pensée,  la liturgie et l’art de l’Eglise. En effet, Libre des persécutions et de l’oppression externe,  L’Eglise s’était battue pour faire assoir  ses principes de base. Il apert qu’à cette époque, le développement de la science ecclésiastique  allait à une vitesse de croisière  grâce  aux efforts des pasteurs, exégètes et théologiens  qui métrèrent leurs connaissances théologiques, rhétoriques et leur culture hellénistique au service de l’Eglise. Cette période est en plus caractérisée par des grands conciles œcuméniques, avec une activité théologique qui résulte des querelles christologiques. Voilà pourquoi ces auteurs consacrèrent leurs forces  à la pastorale, à l’exégèse et à la dogmatique, en vue d’une formation consciente et solide du chrétien, basée sur la profession de foi et la connaissance de la bible.
 Pour y arriver, nous articulons notre réflexion  autour  des trois grands axes,  suivant le plan que voici : hormis l’introduction, nous présenterons très brièvement  la vie de Théodore et la généralité de  ses œuvres au premier point. Au deuxième point, nous aborderons de façon générale l’œuvre catéchétique de Théodore pour en avoir une idée complète, mais de manière plus approfondie les deux premières homélies catéchétiques. Le troisième point qui se ferra suivre par une petite note conclusive  donnera notre avis personnel relatif à l’œuvre étudiée.



 I .VIE ET ŒUVRES DE THEODORE DE MOPSUESTE
I.1.Vie de Théodore de Mopsueste
Théodore de Mopsueste, l’élève de Diodore est le  plus grand pasteur et exégète de l’école d’Antioche. Issu d’une famille aisée d’Antioche, Théodore de Mopsueste  est né vers  350.  A  son sujet, J. Casten écrit : « Théodore étudia la rhétorique et la littérature auprès du célèbre sophiste Libanius,  à l’école duquel il noua une indestructible amitié avec saint Jean Chrysostome. L’exemple et le conseil de ce dernier l’amenèrent à entrer dans un monastère près d’Antioche avant sa  vingtième année »[1]. Il entra après à l’école de Diodore de Tarse nommée « ASKETERION » pour y mener une vie monastique et y approfondir  la connaissance spirituelle, surtout dans le domaine biblique.  Il fut ordonné prêtre par Flavien,  le patriarche  d’Antioche vers 383. En 393, il est sacré évêque de Mopsueste en Cilicie, tâche qu’il assumera jusqu’à sa mort en 428. Comme évêque, Théodore  était vraiment bien réputé en science et en orthodoxie. Il avait aussi gagné l’estime  de ses contemporains. Mêlé ce pendant  à la controverse nestorienne,  Théodore de Mopsueste fut  condamné comme hérétique  cent vingt -cinq ans après sa mort,  au concile de Constantinople en 553.
I.2. Les écrits de Théodore de Mopsueste
Théodore de Mopsueste était un grand auteur de l’âge d’or de la littérature ecclésiastique comme nous l’avons déjà mentionné. Il consacra ses talents d’abord à l’exégèse, à la dogmatique en suite et finalement  à la catéchèse.
S’agissant de l’exégèse,  notons de prime abord que «  Théodore est  le représentant le plus caractéristique de l’école exégétique d’Antioche, et de loin son auteur le plus célèbre ». C’est pour cette raison d’ailleurs que  l’église nestorienne le vénère comme un grand interprète des écritures saintes. Il fut en outre «  le premier à appliquer la critique littéraire à la solution des problème textuels »[2].   
A cet effet,  il  a commenté presque tous les livres de la bible. Dans l’ancien testament, il commenta  le pentateuque, job, ecclésiaste, le cantique des cantiques.  Par contre,  dans le nouveau testament, nous avons le commentaire de l’évangile de Jésus-Christ selon saints Matthieu, saint Luc et saint Jean, les actes des apôtres et toutes les épitres de saint Paul. A titre illustratif, on a le commentaire des douze petits prophètes en grec,  celui de des psaumes  en latin, le commentaire de l’évangile selon saint  Jean en syriaque et celui des dix petites lettres pauliniennes également  en latin. 
Outre l’exégèse, Théodore de Mopsueste avait composé un nombre significatif des traités dogmatiques  manifestant son intérêt  relatif aux questions théologiques de son temps.   En  ce sens, il avait beaucoup lutté contre les hérésies.  Ce pendant, de tous ses écrits dogmatiques,  le seul entièrement conservé dans la traduction syriaque s’intitule : « Despotatio cum macedonians »[3].  La tradition avait en plus conservé des traités sur la christologie : « De incarnatione » et un traité contre Eunom : « contra eunomium »[4].  Faisant l’objet de  notre recherche,  l’œuvre catéchétique de Théodore  sera développée  en grande partie dans les lignes qui suivront. Ce pendant, notons d’emblée qu’elle est composée des seize  homélies qui furent découvertes en 1923 dans un manuscrit syriaque. Les dix premières commentent le crédo de Nicée  faisant allusion à la doctrine de la trinité et à la christologie. Tandis que les six autres expliquent le notre père, la liturgie baptismale et l’Eucharistie.   Eu égard ce qui précède,  notons avec Jean Casten que les œuvres de Théodore  « comme celles des hérétiques, ont pour la plupart péri, mais la découverte de versions orientales dans les vingt-cinq dernières années en ont restitué quelques unes à la science moderne ; elles jettent une lumière entièrement nouvelle sur sa théologie »[5].
II  LES HOMELIES CATECHETIQUES DE THEODORE DE MOPSUESTE
I1.1. Généralité
Comme susdit, les homélies catéchétiques de Théodore ont été découvertes en 1923 et la publication fut faite par Mingana avec une traduction  anglaise d’un texte syriaque. Elles correspondent aux deux titres : « De sacramentis et De Fide »[6] donnés par Ebedjésu en tête des traités non exégétiques.  Il semble que Théodore les avait prononcés entre 388 et 392 à Antioche lorsqu’il fut un simple prêtre. Par contre, une autre source (Leitzmann)  suppose qu’elles avaient été dites entre 392à 428,  lors de son épiscopat à Mopsueste. Ces homélies sont  au  nombre de seize. Elles représentent un ensemble complet de l’enseignement catéchétique de Théodore  à ses catéchumènes.  Elles sont en plus divisées en deux blocs. Le premier est constitué de dix premières  homélies qui traitent les articles de la foi contenus dans le symbole de Nicée. Dans cette partie, Théodore s’adresse aux catéchumènes en  vue de parfaire leur préparation  au sacrément de l’initiation chrétienne. La seconde partie  comprend six autres homélies. Là dedans, l’auteur  explique la prière de notre père, la liturgie du baptême et l’Eucharistie. L’enseignement de cette partie est une catéchèse mystagogique que Théodore fît  aux néophytes, la semaine qui suivit leur  baptême.  Après cette mise au point,   voyons de plus près  les deux premières homélies dans lesquelles, conforment au dogme de concile de Nicée, Theodore commente  de façon indubitable notre credo, la foi de l’Eglise.  
II.2.  Les   deux premières Homélies  catéchétiques de   Théodore de Mopsueste
I.2.1. la première homélie catéchétique
Dans cette première homélie catéchétique, Théodore de Mopsueste donne l’explication  du symbole de la foi de Nicée en commentant le premier article : « je crois en un seul Dieu, le père tout puissant »[7]. L’auteur montre à ce sujet que  la profession de foi est le plus  grand mystère de l’Eglise qui célèbre la solennité  pascale.  Il nous demande d’être conscients  de la foi que nous professons dans l’Eglise ; de façon qu’en confessant consciencieusement  notre foi, nous réfutions le paganisme et le polythéisme qui font souvent écran  à l’œuvre divine.
 En effet,  ayant la pleine conscience de la réalité selon  laquelle le discours humain sur Dieu n’est jamais limpide et clair à cent pour cent,  Théodore commence le commentaire de la première homélie par une série d’interrogations : « Quel verbe serait égal ou quelle pensée serait proportionnée à la grandeur de ces sujets qui nous sont proposés ? Ou quelle langue suffirait à enseigner ces mystères ?   Il est difficile, en effet, à notre langue, d’exposer exactement ce qui regarde même les natures créées, parce qu’elles aussi sont formées avec une grande sagesse par leur auteur… »[8]
Nous interrogeant sur le comment parler de la grandeur du mystère de notre foi et sur la difficulté que nous éprouvons pour en exposer plus exactement le contenu, Théodore de Mopsueste   ouvre notre pensée à l’intelligence  de ce grand mystère de foi qui surpasse toutes pensées humaines.  Pour que notre discours sur ce mystère divin soit  ainsi limpide et clair, nous devons toujours nous rappeler la réalité suivant laquelle depuis les âges, Dieu a souhaité nous faire connaître la sagesse  qui lui est propre, en nous révélant le secret de sa bonté.  Il écrit: «Dans l’esprit, nous sommes capables de parler de bien avenir »[9]. Par la grâce de l’Esprit saint, nous avons la force de tenir un discours sur ces mystères  qui dépassent l’entendement humain.
D’ajouter,  Théodore rappelle que si aujourd’hui, nous croyons fermement,  C’est  grâce à ces mystères incontestables, réalisés pour nous afin que par eux, nous ayons accès à l’expérience d’un monde nouveau avec une conduite conforme, irréprochable des enfants de Dieu. Grâce à ces mystères, tous ceux qui croient en Dieu  expérimentent ici et maintenant le déjà là pas encore eschatologique. C’est dire que nous  les vivants en christ, nous sommes déjà plongés dans une réalité céleste ; en conséquence, nous devenons « immortels au lieu de mortels, incorruptibles au lieu de corruptibles »[10].   Par notre foi, nous marchons sur une terre  épineuse mais nous habitons un ciel étranger à toutes souffrances et  grincement de dents.  A cause de sa faiblesse et de son péché, Adam fut chassé de paradis, ce pendant, par la foi, nous admettons et professons dans notre faiblesse originelle que l’âme voie et connaît les réalités  invisibles et ineffables. Et donc, notre engagement chrétien dans la société est conséquence d’une vraie foi que nous professons en Dieu notre père. 
Poursuivant le commentaire,  Théodore nous partage l’expérience des pères qui, en premier lieu avaient cru et fondé leur vie sur ces mystères révélés  et ont eu le souci de  nous transmettre les bases de cette  vie chrétienne : « Je crois en un seul Dieu, le père tout puissant »[11]. Il note  à propos qu’il n’ya rien là qui doit  nous étonner de façon dont les pères saints ont  gardé  et transmis en des brèves paroles tout  l’enseignement religieux. En Professant un Dieu unique, ils nous ont  aidé à  nous éloigner de l’erreur du polythéisme et  de l’impiété. Toutes  ces paroles contiennent  l’enseignement religieux qui nous aide  à détruire le paganisme avec son  enseignement  basé sur les dieux païens, alors que son contenu est vide de Dieu ; puisque seul, unique et vrai est celui qui, d’éternité  en éternité existe comme cause incausée qui crée  tout. 
 Théodore dit à propos : «  existe unique, existe de (toute) éternité et n’a besoin de nulle autre pour exister, mais elle-même est cause de tout ; et à cause de cela, Dieu est unique et ce qui a été fait ne peut naturellement devenir Dieu, car cela a été fait par un autre »[12]. Il apert  donc que nous admettons la foi en un seul Dieu, selon la prédication des prophètes et l’enseignement des  pères. Bref, selon la foi de l’Eglise.

II.2.2. Deuxième homélie catéchétique
Pendant que la première homélie  ouvrait une série d’explication du symbole de foi de Nicée,  la seconde commenta la suite de ce credo tout en expliquant effectivement pour quoi nous devons confesser « un Dieu  « père » et « auteur »[13] de toutes choses ».   On y trouve en plus une explication de la mission de Jésus-Christ à ses apôtres : allez dans le monde entier, proclamez la bonne nouvelle à toutes les nations.  Celui qui croira et se  ferra baptisé au nom de la trinité, sera sauvé (Mt28, 19).  Cet enseignement nouveau au sujet  du père, du fils et du Saint Esprit était  la mission propre  du  fils  qui l’enseigna lui-même à ses disciples en vue  de dévoiler le mystère sacré  aux hommes. Comme la  société était  polythéiste,  Jésus-Christ ordonna  à ses disciples d’enseigner à toutes les nations de se détourner de leurs dieux païens  et  de croire à la  nature divine  afin « qu’ ils sachent que celui,  qui de toute éternité existe et est cause de toute chose, est seul la nature divine, qui est connue en trois hypostases du père et du fils et de  l’Esprit-Saint » [14].
Théodore nous explique que par la parole créatrice, Dieu est celui qui demeure d’éternité en éternité : «Je suis celui qui est,  et tel est mon nom à jamais et tel est mon souvenir  de siècle en siècle »[15] (Ex3, 14-15).Il note : « nous comprenons que c’est Dieu qui est appelé de ce nom, parce que lui, en vérité, est et que toutes les créatures, en vérité, n’existent pas, puisque c’est de rien et selon la volonté de leur auteur  qu’elles devinrent, et que lui, vraiment, il existe à cause de quoi il est appelé  celui qui est »[16]. Voilà donc la quintessence de  cet article : « je crois en un seul Dieu le père, auteur de toutes les  choses, visibles et  invisibles »[17].  
III. APROCHE PERSONNEL LE DU  SUJET
            Théodore a œuvré à une époque très significative de l’histoire de l’Eglise. Au cours de  cette période, bon nombre des pères s’étaient engagés dans les luttes contemporaines ; ils appliquèrent leurs efforts à la polémique  et au dogme. Par conséquent, L’Eglise réussit de préserver sa doctrine contre les hérésies  et définir ses dogmes principaux. 
En effet, comme tous les autres  Pères, la contribution de Théodore était dans la composition et dans la défense de notre profession   de foi contre les hérésies et les cultures contemporaines.  Ses homélies catéchétiques cachent un enseignement  riche et important  dans sa triple relation au dogme, à la morale et  au culte, pour les besoins  actuels de l’Eglise.  Là dedans, Théodore  montre comment défendre sa foi et comment  avancer dans le domaine dogmatique. 
Expliquant pourquoi devons-nous confesser à un seul Dieu, Théodore nous fait connaître le cœur du symbole de notre foi, source de notre salut. En outre,  Théodore révèle au chrétien  le sens du mystère chrétien qu’il est appelé à expérimenter en ces termes : « celui donc qui dit un seul Dieu, indique aussi qu’unique est le seigneur ; et celui qui dit qu’unique est le seigneur, confesse aussi qu’unique est Dieu »[18].  Son comportement de théologien, de pasteur er d’exégète accuse un degré plus élevé, et un sens profond du mystère divin qu’il portait en lui.  Ces homélies sont également des sources  d’une richesse culturelle, spirituelle et  apostolique incontestable, faisant référence aux écritures saintes. Elles constituent en même temps une  des sources  fondamentales pour la formation des ministres sacrés, mieux encore pour la formation d’une authentique vie chrétienne.  
Par ricochait, tout discours sur  soi, suppose la connaissance de la situation de sa vie  chrétienne.  De ce fait,  d’aucuns n’ignorent  la crise  concernant la foi que traverse  notre monde en ces temps qui sont les nôtres. Il suffit  d’enquêter dans des milieux dits chrétiens, nous allons nous en rendre compte.   Pour palier à cette crise en cette année de la foi, les homélies catéchétiques de Théodore   de  Mopsueste constituent une source fiable  pouvant nous aider  à méditer et à réfléchir   sur le comment parler  de notre foi et le comment vivre de cette foi  aujourd’hui. 
NOTE CONCLUSIVE
Après avoir visité tour à tour la vie, les œuvres et le contexte dans lequel Théodore de Mopsueste a vécu,  nous sommes convaincus que nous avons goûté aux enseignements d’un éminent pasteur et  exégète d’école d’Antioche, en qui, l’Eglise a reconnu le titre glorieux  d’ « interprète » des écritures saintes.  Il sied de noter à ce sujet que ses homélies catéchétiques  demeurent au cœur de l’Eglise comme un enseignement de référence qui conforme notre foi au dogme formulé au concile de Nicée Constantinople en 325.  Il nous est demandé en plus, de faire nôtre ses réflexions  afin d’être en mesure de proposer des solutions à l’un ou l’autre problème relatif à la foi chrétienne de notre temps.

BIBLIOGRAPHIE
1°  Bible Tob, Paris, CRF (tradition intégrale) ,1988.
2° Quasten J., Initiation aux pères de l’Eglise, tm3, Paris, CRF, 1962,850.
3° Drobrer R. Hubertus, Les pères de l’Eglise : sept siècles de littérature chrétienne,         
    Fribourg- en Brisgau, 1991, 637p.
4°  http:/ ww3. Org/Théodore-de-Mopsueste- explication-du-symbole -de- foi   
     (Consulté le 20-01-2013)



TABLE DE   DES MATIERES

0.  INTRODUCTION-----------------------------------------------------------------------------------1
I. VIE ET ŒUVRES DE THEODORE DE MOPSUESTE----------------------------------------2
I.1. Vie de Théodore de Mopsueste----------------------------------------------------------------2
I.2. Les écrits de Théodore de Mopsueste--------------------------------------------------------2
II  LES HOMELIES CATECHETIQUES DE THEODORE DE MOPSUESTE---------------3
I1.1. Généralité------------------------------------------------------------------------------------------3
II.2.  Les   deux premières Homélies  catéchétiques de   Théodore de Mopsueste-----4
I.2.1. la première homélie catéchétique-----------------------------------------------------------4
II.2.2. Deuxième homélie catéchétique------------------------------------------------------------6
III. APROCHE PERSONNEL LE DU  SUJET------------------------------------------------------7
      NOTE CONCLUSIVE------------------------------------------------------------------------------8      
      BIBLIOGRAPHIE-----------------------------------------------------------------------------------8
                                               TABLE DES MATIERES-------------------------------------------------------9











[1] Quasten J., Initiation aux pères de l’Eglise, Paris, CRF, 1962, p.564.
[2] Ibidem, p.565.
[3] Drobrer R. Hubertus, Les pères de L’Eglise : sept siècles de littérature chrétienne, Fribourg-en-Brisgau, 1991, p.348.
[4] Ibidem, p.351.
[5] Idem, p.565.
[6] Ibidem, p.751.
[7] Http : /ww3. Patristique.org/Théodore-de-Mopsueste-explication-du-symbole-de-foi (consulté le 20/01/2013).
[8] Ibidem.
[9]  Ibidem.
[10] Ibidem.
[11]  Atitung C., homélies catéchétiques de Théodore de Mopsueste
[12] Ibidem
[13]  Ibidem
[14] http:// ww3.patristique.org/ Théodore-de-Mopsueste-Explication-du-symbole-de-foi (consulté le 20/01/2013)
[15]  La Bible Tob, Paris, CERF, 1988,
[16] Idem.
[17] Idem.
[18] Idem

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