INTRODUCTION
Chaque contacte avec le
monde des pères est une chance pour nous car, nous y rencontrons des
enseignements qui donnent de matière
pour répondre aux questions sur la foi
et sur la révélation divine que
pose le monde présent. A cet
effet, dans le souci d’approfondir ce monde des pères que nous avons parcouru dans notre cours de patrologie II, il nous
avait été demandé de présenter succinctement une partie de l’ouvre
catéchétique de Théodore d’ Antioche,
évêque de Mopsueste. Théodore de
Mopsueste est un d’éminents pasteures, penseurs
et écrivains de la patristique qui marquèrent l’âge d’or de la
littérature ecclésiastique en Antioche.
Dans l’histoire de
l’Eglise, le quatrième et le cinquième siècle
sont des siècles décisifs qui ont marqué l’ère nouvelle pour la
pensée, la liturgie et l’art de
l’Eglise. En effet, Libre des persécutions et de l’oppression externe, L’Eglise s’était battue pour faire assoir ses principes de base. Il apert qu’à cette
époque, le développement de la science ecclésiastique allait à une vitesse de croisière grâce
aux efforts des pasteurs, exégètes et théologiens qui métrèrent leurs connaissances
théologiques, rhétoriques et leur culture hellénistique au service de l’Eglise.
Cette période est en plus caractérisée par des grands conciles œcuméniques,
avec une activité théologique qui résulte des querelles christologiques. Voilà
pourquoi ces auteurs consacrèrent leurs forces
à la pastorale, à l’exégèse et à la dogmatique, en vue d’une formation
consciente et solide du chrétien, basée sur la profession de foi et la
connaissance de la bible.
Pour y arriver, nous articulons notre
réflexion autour des trois grands axes, suivant le plan que voici : hormis
l’introduction, nous présenterons très brièvement la vie de Théodore et la généralité de ses œuvres au premier point. Au deuxième
point, nous aborderons de façon générale l’œuvre catéchétique de Théodore pour
en avoir une idée complète, mais de manière plus approfondie les deux premières
homélies catéchétiques. Le troisième point qui se ferra suivre par une petite
note conclusive donnera notre avis personnel
relatif à l’œuvre étudiée.
I .VIE ET ŒUVRES
DE THEODORE DE MOPSUESTE
I.1.Vie
de Théodore de Mopsueste
Théodore de Mopsueste,
l’élève de Diodore est le plus grand
pasteur et exégète de l’école d’Antioche. Issu d’une famille aisée d’Antioche,
Théodore de Mopsueste est né vers 350. A son sujet, J. Casten écrit : « Théodore étudia la rhétorique et la
littérature auprès du célèbre sophiste Libanius, à l’école duquel il noua une indestructible
amitié avec saint Jean Chrysostome. L’exemple et le conseil de ce dernier
l’amenèrent à entrer dans un monastère près d’Antioche avant sa vingtième année »[1].
Il entra après à l’école de Diodore de Tarse nommée « ASKETERION » pour y mener une vie monastique et y
approfondir la connaissance spirituelle,
surtout dans le domaine biblique. Il fut
ordonné prêtre par Flavien, le
patriarche d’Antioche vers 383. En 393,
il est sacré évêque de Mopsueste en Cilicie, tâche qu’il assumera jusqu’à sa
mort en 428. Comme évêque, Théodore
était vraiment bien réputé en science et en orthodoxie. Il avait aussi
gagné l’estime de ses contemporains.
Mêlé ce pendant à la controverse
nestorienne, Théodore de Mopsueste
fut condamné comme hérétique cent vingt -cinq ans après sa mort, au concile de Constantinople en 553.
I.2. Les écrits de Théodore de Mopsueste
Théodore de Mopsueste
était un grand auteur de l’âge d’or de la littérature ecclésiastique comme nous
l’avons déjà mentionné. Il consacra ses talents d’abord à l’exégèse, à la
dogmatique en suite et finalement à la
catéchèse.
S’agissant de l’exégèse, notons de prime abord que « Théodore est le représentant le plus caractéristique de
l’école exégétique d’Antioche, et de loin son auteur le plus célèbre ».
C’est pour cette raison d’ailleurs que
l’église nestorienne le vénère comme un grand interprète des écritures
saintes. Il fut en outre « le
premier à appliquer la critique littéraire à la solution des problème
textuels »[2].
A cet effet, il a
commenté presque tous les livres de la bible. Dans l’ancien testament, il
commenta le pentateuque, job,
ecclésiaste, le cantique des cantiques.
Par contre, dans le nouveau
testament, nous avons le commentaire de l’évangile de Jésus-Christ selon saints
Matthieu, saint Luc et saint Jean, les actes des apôtres et toutes les épitres
de saint Paul. A titre illustratif, on a le commentaire des douze petits
prophètes en grec, celui de des
psaumes en latin, le commentaire de
l’évangile selon saint Jean en syriaque
et celui des dix petites lettres pauliniennes également en latin.
Outre l’exégèse, Théodore
de Mopsueste avait composé un nombre significatif des traités dogmatiques manifestant son intérêt relatif aux questions théologiques de son
temps. En ce sens, il avait beaucoup lutté contre les
hérésies. Ce pendant, de tous ses écrits
dogmatiques, le seul entièrement
conservé dans la traduction syriaque s’intitule : « Despotatio
cum macedonians »[3]. La tradition avait en plus conservé des
traités sur la christologie : « De incarnatione » et un
traité contre Eunom : « contra
eunomium »[4]. Faisant l’objet de notre recherche, l’œuvre catéchétique de Théodore sera développée en grande partie dans les lignes qui suivront.
Ce pendant, notons d’emblée qu’elle est composée des seize homélies qui furent découvertes en 1923 dans
un manuscrit syriaque. Les dix premières commentent le crédo de Nicée faisant allusion à la doctrine de la trinité
et à la christologie. Tandis que les six autres expliquent le notre père, la
liturgie baptismale et l’Eucharistie. Eu égard ce qui précède, notons avec Jean Casten que les œuvres de
Théodore « comme celles des hérétiques, ont pour la plupart péri, mais la
découverte de versions orientales dans les vingt-cinq dernières années en ont
restitué quelques unes à la science moderne ; elles jettent une lumière
entièrement nouvelle sur sa théologie »[5].
II LES HOMELIES CATECHETIQUES DE THEODORE DE
MOPSUESTE
I1.1.
Généralité
Comme susdit, les
homélies catéchétiques de Théodore ont été découvertes en 1923 et la
publication fut faite par Mingana avec une traduction anglaise d’un texte syriaque. Elles
correspondent aux deux titres : « De sacramentis et De Fide »[6]
donnés par Ebedjésu en tête des traités non exégétiques. Il semble que Théodore les avait prononcés
entre 388 et 392 à Antioche lorsqu’il fut un simple prêtre. Par contre, une
autre source (Leitzmann) suppose
qu’elles avaient été dites entre 392à 428,
lors de son épiscopat à Mopsueste. Ces homélies sont au
nombre de seize. Elles représentent un ensemble complet de
l’enseignement catéchétique de Théodore
à ses catéchumènes. Elles sont en
plus divisées en deux blocs. Le premier est constitué de dix premières homélies qui traitent les articles de la foi
contenus dans le symbole de Nicée. Dans cette partie, Théodore s’adresse aux
catéchumènes en vue de parfaire leur
préparation au sacrément de l’initiation
chrétienne. La seconde partie comprend
six autres homélies. Là dedans, l’auteur
explique la prière de notre père, la liturgie du baptême et
l’Eucharistie. L’enseignement de cette partie est une catéchèse mystagogique
que Théodore fît aux néophytes, la
semaine qui suivit leur baptême. Après cette mise au point, voyons de plus près les deux premières homélies dans lesquelles,
conforment au dogme de concile de Nicée, Theodore commente de façon indubitable notre credo, la foi de
l’Eglise.
II.2.
Les deux premières Homélies catéchétiques de Théodore de Mopsueste
I.2.1.
la première homélie catéchétique
Dans cette première
homélie catéchétique, Théodore de Mopsueste donne l’explication du symbole de la foi de Nicée en commentant
le premier article : « je crois en un seul Dieu, le père tout puissant »[7].
L’auteur montre à ce sujet que la
profession de foi est le plus grand
mystère de l’Eglise qui célèbre la solennité
pascale. Il nous demande d’être conscients de la foi que nous professons dans l’Eglise ;
de façon qu’en confessant consciencieusement
notre foi, nous réfutions le paganisme et le polythéisme qui font
souvent écran à l’œuvre divine.
En effet,
ayant la pleine conscience de la réalité selon laquelle le discours humain sur Dieu n’est
jamais limpide et clair à cent pour cent,
Théodore commence le commentaire de la première homélie par une série
d’interrogations : « Quel
verbe serait égal ou quelle pensée serait proportionnée à la grandeur de ces
sujets qui nous sont proposés ? Ou quelle langue suffirait à enseigner ces
mystères ? Il est difficile, en
effet, à notre langue, d’exposer exactement ce qui regarde même les natures
créées, parce qu’elles aussi sont formées avec une grande sagesse par leur
auteur… »[8]
.
Nous interrogeant sur le comment
parler de la grandeur du mystère de notre foi et sur la difficulté que nous
éprouvons pour en exposer plus exactement le contenu, Théodore de Mopsueste ouvre
notre pensée à l’intelligence de ce
grand mystère de foi qui surpasse toutes pensées humaines. Pour que notre discours sur ce mystère divin
soit ainsi limpide et clair, nous devons
toujours nous rappeler la réalité suivant laquelle depuis les âges, Dieu a
souhaité nous faire connaître la sagesse
qui lui est propre, en nous révélant le secret de sa bonté. Il
écrit: «Dans l’esprit, nous sommes
capables de parler de bien avenir »[9]. Par
la grâce de l’Esprit saint, nous avons la force de tenir un discours sur ces
mystères qui dépassent l’entendement
humain.
D’ajouter, Théodore rappelle que si aujourd’hui, nous
croyons fermement, C’est grâce à ces mystères incontestables, réalisés
pour nous afin que par eux, nous ayons accès à l’expérience d’un monde nouveau
avec une conduite conforme, irréprochable des enfants de Dieu. Grâce à ces
mystères, tous ceux qui croient en Dieu expérimentent ici et maintenant le
déjà là pas encore eschatologique. C’est dire que nous les vivants en christ, nous sommes déjà plongés
dans une réalité céleste ; en conséquence, nous devenons « immortels au lieu de mortels,
incorruptibles au lieu de corruptibles »[10].
Par notre foi, nous marchons sur une terre épineuse mais nous habitons un ciel étranger à
toutes souffrances et grincement de
dents. A cause de sa faiblesse et de son
péché, Adam fut chassé de paradis, ce pendant, par la foi, nous admettons et
professons dans notre faiblesse originelle que l’âme voie et connaît les
réalités invisibles et ineffables. Et
donc, notre engagement chrétien dans la société est conséquence d’une vraie foi
que nous professons en Dieu notre père.
Poursuivant le
commentaire, Théodore nous partage
l’expérience des pères qui, en premier lieu avaient cru et fondé leur vie sur
ces mystères révélés et ont eu le souci
de nous transmettre les bases de cette vie chrétienne : « Je crois en un seul Dieu, le père tout puissant »[11]. Il
note à propos qu’il n’ya rien là qui
doit nous étonner de façon dont les
pères saints ont gardé et transmis en des brèves paroles tout l’enseignement religieux. En Professant un Dieu
unique, ils nous ont aidé à nous éloigner de l’erreur du polythéisme et de l’impiété. Toutes ces paroles contiennent l’enseignement religieux qui nous aide à détruire le paganisme avec son enseignement
basé sur les dieux païens, alors que son contenu est vide de Dieu ;
puisque seul, unique et vrai est celui qui, d’éternité en éternité existe comme cause incausée qui
crée tout.
Théodore dit à propos : « existe unique, existe de (toute)
éternité et n’a besoin de nulle autre pour exister, mais elle-même est cause de
tout ; et à cause de cela, Dieu est unique et ce qui a été fait ne peut
naturellement devenir Dieu, car cela a été fait par un autre »[12].
Il apert donc que nous admettons la foi
en un seul Dieu, selon la prédication des prophètes et l’enseignement des pères. Bref, selon la foi de l’Eglise.
II.2.2.
Deuxième homélie catéchétique
Pendant que la première
homélie ouvrait une série d’explication
du symbole de foi de Nicée, la seconde
commenta la suite de ce credo tout en expliquant effectivement pour quoi nous
devons confesser « un Dieu « père »
et « auteur »[13] de
toutes choses ». On y trouve
en plus une explication de la mission de Jésus-Christ à ses
apôtres : allez dans le monde
entier, proclamez la bonne nouvelle à toutes les nations. Celui qui croira et se ferra baptisé au nom de la trinité, sera sauvé
(Mt28, 19). Cet enseignement nouveau
au sujet du père, du fils et du Saint
Esprit était la mission propre du
fils qui l’enseigna lui-même à
ses disciples en vue de dévoiler le
mystère sacré aux hommes. Comme la société était
polythéiste, Jésus-Christ ordonna à ses disciples d’enseigner à toutes les
nations de se détourner de leurs dieux païens
et de croire à la nature divine
afin « qu’ ils sachent que
celui, qui de toute éternité existe et
est cause de toute chose, est seul la nature divine, qui est connue en trois
hypostases du père et du fils et de
l’Esprit-Saint » [14].
Théodore nous explique
que par la parole créatrice, Dieu est celui qui demeure d’éternité en
éternité : «Je suis celui qui
est, et tel est mon nom à jamais et tel
est mon souvenir de siècle en
siècle »[15]
(Ex3, 14-15).Il note : « nous
comprenons que c’est Dieu qui est appelé de ce nom, parce que lui, en vérité,
est et que toutes les créatures, en vérité, n’existent pas, puisque c’est de
rien et selon la volonté de leur auteur
qu’elles devinrent, et que lui, vraiment, il existe à cause de quoi il
est appelé celui qui est »[16].
Voilà donc la quintessence de cet
article : « je crois en un seul
Dieu le père, auteur de toutes les
choses, visibles et
invisibles »[17].
III.
APROCHE PERSONNEL LE DU SUJET
Théodore
a œuvré à une époque très significative de l’histoire de l’Eglise. Au cours
de cette période, bon nombre des pères
s’étaient engagés dans les luttes contemporaines ; ils appliquèrent leurs
efforts à la polémique et au dogme. Par
conséquent, L’Eglise réussit de préserver sa doctrine contre les hérésies et définir ses dogmes principaux.
En effet, comme tous les
autres Pères, la contribution de
Théodore était dans la composition et dans la défense de notre profession de foi
contre les hérésies et les cultures contemporaines. Ses homélies catéchétiques cachent un
enseignement riche et important dans sa triple relation au dogme, à la morale
et au culte, pour les besoins actuels de l’Eglise. Là dedans, Théodore montre comment défendre sa foi et
comment avancer dans le domaine
dogmatique.
Expliquant pourquoi
devons-nous confesser à un seul Dieu, Théodore nous fait connaître le cœur du
symbole de notre foi, source de notre salut. En outre, Théodore révèle au chrétien le sens du mystère chrétien qu’il est appelé
à expérimenter en ces termes : « celui
donc qui dit un seul Dieu, indique aussi qu’unique est le seigneur ; et
celui qui dit qu’unique est le seigneur, confesse aussi qu’unique est
Dieu »[18]. Son comportement de théologien, de pasteur er
d’exégète accuse un degré plus élevé, et un sens profond du mystère divin qu’il
portait en lui. Ces homélies sont
également des sources d’une richesse
culturelle, spirituelle et apostolique incontestable,
faisant référence aux écritures saintes. Elles constituent en même temps
une des sources fondamentales pour la formation des ministres
sacrés, mieux encore pour la formation d’une authentique vie chrétienne.
Par ricochait, tout
discours sur soi, suppose la
connaissance de la situation de sa vie
chrétienne. De ce fait, d’aucuns n’ignorent la crise
concernant la foi que traverse
notre monde en ces temps qui sont les nôtres. Il suffit d’enquêter dans des milieux dits chrétiens,
nous allons nous en rendre compte. Pour palier à cette crise en cette année de la
foi, les homélies catéchétiques de Théodore
de Mopsueste constituent une source fiable pouvant nous aider à méditer et à réfléchir sur le comment parler de notre foi et le comment vivre de cette
foi aujourd’hui.
NOTE
CONCLUSIVE
Après avoir visité tour à
tour la vie, les œuvres et le contexte dans lequel Théodore de Mopsueste a
vécu, nous sommes convaincus que nous
avons goûté aux enseignements d’un éminent pasteur et exégète d’école d’Antioche, en qui, l’Eglise
a reconnu le titre glorieux
d’ « interprète » des écritures saintes. Il sied de noter à ce sujet que ses homélies catéchétiques demeurent au cœur de l’Eglise comme un
enseignement de référence qui conforme notre foi au dogme formulé au concile de
Nicée Constantinople en 325. Il nous est
demandé en plus, de faire nôtre ses réflexions
afin d’être en mesure de proposer des solutions à l’un ou l’autre
problème relatif à la foi chrétienne de notre temps.
BIBLIOGRAPHIE
1°
Bible Tob, Paris, CRF
(tradition intégrale) ,1988.
2° Quasten J., Initiation aux pères de l’Eglise, tm3, Paris, CRF, 1962,850.
3° Drobrer R. Hubertus, Les pères de l’Eglise : sept siècles de
littérature chrétienne,
Fribourg- en Brisgau, 1991, 637p.
4°
http:/ ww3. Org/Théodore-de-Mopsueste- explication-du-symbole -de- foi
(Consulté le 20-01-2013)
TABLE DE DES
MATIERES
0.
INTRODUCTION-----------------------------------------------------------------------------------1
I.
VIE
ET ŒUVRES DE THEODORE DE MOPSUESTE----------------------------------------2
I.1. Vie de Théodore de
Mopsueste----------------------------------------------------------------2
I.2.
Les écrits de Théodore de
Mopsueste--------------------------------------------------------2
II
LES HOMELIES CATECHETIQUES DE THEODORE DE MOPSUESTE---------------3
I1.1.
Généralité------------------------------------------------------------------------------------------3
II.2. Les
deux premières Homélies
catéchétiques de Théodore de
Mopsueste-----4
I.2.1. la première homélie catéchétique-----------------------------------------------------------4
II.2.2. Deuxième homélie
catéchétique------------------------------------------------------------6
III. APROCHE PERSONNEL LE DU
SUJET------------------------------------------------------7
NOTE
CONCLUSIVE------------------------------------------------------------------------------8
BIBLIOGRAPHIE-----------------------------------------------------------------------------------8
TABLE DES MATIERES-------------------------------------------------------9
[1] Quasten
J., Initiation aux pères de l’Eglise,
Paris, CRF, 1962, p.564.
[2] Ibidem, p.565.
[3] Drobrer
R. Hubertus, Les pères de L’Eglise :
sept siècles de littérature chrétienne, Fribourg-en-Brisgau, 1991, p.348.
[4] Ibidem, p.351.
[6] Ibidem, p.751.
[7]
Http : /ww3.
Patristique.org/Théodore-de-Mopsueste-explication-du-symbole-de-foi (consulté
le 20/01/2013).
[8] Ibidem.
[9] Ibidem.
[10] Ibidem.
[11] Atitung C., homélies catéchétiques de
Théodore de Mopsueste
[12] Ibidem
[13] Ibidem
[14] http://
ww3.patristique.org/ Théodore-de-Mopsueste-Explication-du-symbole-de-foi
(consulté le 20/01/2013)
[15] La Bible Tob, Paris, CERF, 1988,
[16] Idem.
[17] Idem.
[18] Idem
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